لجان التحكيم

مبرمجة وصحفية وحاصلة على ماستر في الأدب الحديث، ومديرة سابقة لمهرجان طاكلياكوزوان فيلم.
منذ 2020، وهي مسؤولة عن مهرجان فيلم الإتحاد الأوروبي بالهند، و تشتغل منذ 2019 كمبرمجة بمهرجان سينما موليز. ومنذ 2015 وهي تعمل كمبرمجة في المهرجان المتوسطي بروما ومسؤولة عن العلاقات مع الجامعات والسجون، ومنسقة لمشروع عن الترابط بين السينما والحوار ما بين الثقافي في منطقة حوض البحر الأبيض المتوسط. وهي مساهمة أيضا في مشروع تشرف عليه جامعة روما ومتعلق بالسينما والتربية.

Après une longue carrière dans la communication et l’enseignement de la publicité, Mohamed Laroussi se consacre à ses passions de toujours : l’écriture et le cinéma. Depuis, il est écrivain, scénariste, critique de cinéma et chroniqueur dans plusieurs journaux, magazines et sites électroniques. Il a déjà publié 4 ouvrages : « Satire sur tout ce qui bouge », « Que personne ne rigole », « La fureur de rire » et « Marx est mort, mon amour » (Roman). Il est le co-fondateur de Scriptlab dédiée à l’écriture de commande, la direction d’écriture, le script-doctoring. et la formation. Il a co-écrit le scénario de « L’anniversaire », un long métrage pour Latif Lahlou. Il collabore avec plusieurs cinéastes pour l’écriture ou en tant que script-doctor de leurs scénarios. Il a fondé en 2018 avec quelques amis « AnouArts », une association pour la promotion de la culture et les arts. Il est le co-fondateur en 2019 d’une nouvelle plateforme d’information sur internet (Analyz.ma) où il assure, entre autres, une chronique hebdomadaire qui s’intitule : « Vendredi, tout est dit ».

Né à El Ksiba au Maroc, en 1967, Mohamed El Baz est diplômé en arts plastiques de l’Ecole Régionale d’Art de Dunkerque en 1989, il obtient en 1992 le diplôme supérieur d’expression plastique à l’Ecole Nationale Supérieure de Paris. Il suit également les cours de l’institut des Hautes Etudes en Arts Plastiques à Paris. Mohamed El baz vit et travaille à Casablanca au Maroc et à Lille en France. Depuis 1993, Mohamed El baz réalise un projet intitulé « Bricoler l’incurable ». Clé d’un imaginaire ouvert et infini se déclinant à travers des installations complexes et toujours explosives ; autant de composants ou “détails” se retrouvent d’un lieu à un autre et s’adaptent à chaque nouveau concept.
Son œuvre possède trois orientations au travers desquelles Mohamed El baz transgresse les frontières et les catégories: le quotidien, l’autobiographique et le ludique ; l’œuvre elle-même devient nomade et se mue en une autre histoire. Mohamed El baz s’interroge sur les notions de frontières et territoires et tout ce qui travaille à ériger des barrières entre les individus.

Réalisateur, producteur et Scénariste franco-ivoirien, il enseigne d’abord les mathématiques et les arts martiaux (tae-kwondo), avant d’intégrer l’Esra de Paris (École Supérieure de Réalisation Audiovisuelle) en 1995. En 1997, il écrit, réalise et produit son premier court, Bouzié (À ma mère), qui remporte le Prix du Meilleur Court métrage au Fespaco. En 1999, il réalise son deuxième court, Bol d’amour. Il produit plusieurs films documentaires, institutionnels et de fiction sous la bannière de Parenthèse Films. Désormais à la tête de Bouzié Films, il coproduit et réalise en 2013 L’Amour en bonus, une comédie romantique ivoirienne.

2013 – L’AMOUR EN BONUS
2015 – WITHOUT REGRET (Sans regret)

Après avoir terminé ses études de cinéma à l’Académie tunisienne des arts en 1983, il a été directeur général du département audiovisuel du ministère de la Culture et du département du Centre culturel international de Hamamat et de son festival, avant de devenir directeur du Festival du film de Carthage en 2012. Kharrat a également été membre du jury des festivals du film d’Alexandrie, de Damas, du Nil et de Dakhla.

Hamid Benamra est réalisateur, cadreur et monteur. Il a fait 10 ans d’université entre la philosophie, le cinéma et “Histoire et Cinéma” chez Marc Ferro à Paris. Il est 5ème Dan de Karaté, un art qu’il pratique depuis 1972. La voie du bushido est sa manière de vivre : “Le cadre et le couteau ont en commun le tranchant, mais c’est l’œil que l’on aiguise.” extrait de son dernier film Timelife dont la première mondiale était au 41ème festival International de Moscou. Sa période algérienne comporte 6 films entre 1981 et 85 que résume la critique Mouny Berrah dans le magazine “Les deux écrans” n°50 en 1982 par ceci : “Les enfants de Godard ont aussi essaimé dans les banlieues d’Alger” Sa période française en compte 10 dont “Bouts de vies, Bouts de rêves”, “Rêveries de l’acteur solitaire”, “Hizam” et “Timellife”. Il fût jury au festival du cinéma africain de Luxor et à celui du cinéma d’auteur de Rabat et président du jury au festival du film Africain de Toulouse et du festival International de Yalta en 2019. Il écrit pour Aljazeera des Chroniques sur le cinéma depuis 2014.

Irit Neidhardt travaille en tant qu’auteure et conservatrice indépendante dans le domaine du cinéma et du Moyen-Orient depuis 1995. En 2002, elle a fondé Mec film, une société internationale de distribution et de vente de films de réalisateurs arabes. Elle est l’auteure de nombreux articles sur le cinéma arabe dans lesquels elle se concentre sur des questions de coopération et de coproduction entre l’Europe et le Moyen-Orient, ainsi que la coproduction de plusieurs documentaires arabes.

Fanny Aubert Malaurie a une double carrière artistique et managériale. Elle est actrice, réalisatrice, animatrice de bateaux de croisière, gérante de théâtre et diplomate culturelle depuis plus de 20 ans. Elle possède une solide formation artistique générale et une solide expérience en relations publiques, cinéma, arts visuels et arts du spectacle ainsi que la création numérique. Elle enseigne la gestion culturelle internationale. Fanny Aubert Malaurie a une grande expérience dans la collecte de fonds pour des projets et / ou des institutions d’ingénierie culturelle, tant auprès des institutions publiques et des donateurs privés (entreprises et particuliers).
Elle a également dirigé le «Festival du film francophone d’Athènes» et siège au conseil d’administration du «Festival du film de Sarlat». Elle parle plusieurs langues (une dizaine).

Réalisatrice de documentaires, Marion Stalens travaille sur le rapport à l’autre, quel qu’il soit. La condition des femmes, l’exil, le handicap, la liberté d’expression, la radicalisation, sont parmi les thématiques qu’elle a exploré. Ses films ont la particularité d’articuler des questions de société et le monde de la création. Elle a réalisé de nombreux documentaires pour la télévision (France 2, France 3, Arte, Canal+, Planète, etc…). On peut citer notamment La réconciliation, Invitation à quitter la France, Le silence ou l’exil, Les acteurs singuliers, Nos mères nos daronnes, Revenantes. Parallèlement, Marion Stalens mène depuis 30 ans un parcours de photographe, ponctué d’expositions en France et à l’étranger.

Amal El Gamal est née en 1973 dans un village appelé “Les Poètes”, de la province de Damiette, au nord de l’Égypte. Fille d’une famille paysanne, elle est diplômée de l’École des communications de l’Université du Caire. En 2007, elle a obtenu une maîtrise ès arts avec distinction. En 2013, elle a eu un doctorat pour sa thèse sur le langage cinématographique dans la littérature (une étude comparative entre le réalisateur russe Andrei Tarkovsky et le romancier et écrivain égyptien Sherif Hetata) également avec mention. Depuis 1997, elle travaille comme scénariste à la télévision égyptienne. Elle a écrit plusieurs scénarios pour des films documentaires, dont quatre séquences sur “Animaux en danger d’extinction” en Egypte, choisis entre autres dans la même série diffusée à la télévision de quinze pays d’Europe. Elle a écrit deux scénarios pour des films de fiction, l’un basé sur une nouvelle de Youssef Idriss intitulée “Au-delà de la raison” et l’autre basé sur un roman intitulé “Le Net” de Sherif Hetata.

مؤسس ومدير المنصة الرقمية فنون_المغرب www.maghrebarts.net

مبرمج سينمائي. أصدر مقالات ودراسات نقدية حول السينما.

Elle est diplômée en communication audiovisuelle et en journalisme. Elle est, depuis 25 ans, professionnelle de la communication institutionnelle, critique de cinéma et cinéaste. Elle est critique de cinéma pour le magazine de Séville El Giraldillo depuis 1998. Elle est attachée de presse du Festival du film européen de Séville, de la Délégation de la Culture de la Mairie de Séville et travaille depuis 2012 en tant que coordinatrice de presse pour Alcances, Festival du film documentaire de Cadix. Elle est également auteure et responsable des productions audiovisuelles et de la communication dans son agence The Louca Factory, d’où elle coordonne les actions de presse pour les productions cinématographiques. Elle appartient à l’Association de la Presse de Séville, et est présidente de l’Association des écrivains et écrivains cinématographiques d’Andalousie ASECAN (organisation qui décerne les prix du cinéma andalou depuis 1982), et qui a récompensé en 2002 son travail à la tête de l’émission radio «Au Cinéma avec Lourdes » du réseau COPE comme meilleur travail d’information sur le cinéma en Andalousie.

Nasri Hajjaj, réalisateur, écrivain et journaliste palestinien, est titulaire d’une licence en philosophie et psychologie de l’Université arabe de Beyrouth. Ses publications comprennent une collection d’histoires intitulée Je pense que j’aime le gouvernement, et il a des histoires publiées en anglais dans des livres et des magazines au Royaume-Uni et en Amérique. Il a été choisi comme membre de jury pour de nombreux festivals arabes. Parmi ses films, on cite L’Ombre de l’absence (2007), Comme a dit le poète (2009) et L’Oiseau (2018).